Nous sommes aujourd’hui dans un monde sans foi ni loi, il n’y a désormais plus que la survie qui compte. Ces événements signaient la fin d’une ère, la fin de l’humanité ou presque… Ainsi, trois mois seulement après la “catastrophe”, le jour J, il n’existe plus de gouvernement, il n’y a plus de politique, plus d’économie, plus de justice, plus d’hôpitaux,... L’humanité elle-même semble être anéanti alors que quelques hommes tentent encore de survivre. Il n’y a plus d’électricité, plus d’internet, plus de téléphones portables, ou de télévisions. Pour les êtres humains encore en vie, il n’est plus que questions de survie et rien d’autres, c’est tout ce qui importe.
Nous sommes aujourd’hui dans un monde sans foi ni loi, il n’y a désormais plus que la survie qui compte. Ces événements signaient la fin d’une ère, la fin de l’humanité ou presque… Ainsi, trois mois seulement après la “catastrophe”, le jour J, il n’existe plus de gouvernement, il n’y a plus de politique, plus d’économie, plus de justice, plus d’hôpitaux,... L’humanité elle-même semble être anéanti alors que quelques hommes tentent encore de survivre. Il n’y a plus d’électricité, plus d’internet, plus de téléphones portables, ou de télévisions. Pour les êtres humains encore en vie, il n’est plus que questions de survie et rien d’autres, c’est tout ce qui importe.
Evénements
Au fil de son évolution et de son histoire, l’Homme a découvert et a appris tant de choses qu’il en a oublié la chose la plus fondamentale et la plus basique de notre univers : son rapport avec la nature. Une chose a toujours été vraie et le sera toujours, la nature est le mur porteur de cette planète, elle en est la pièce maîtresse. Ce sont les règles imposées par la nature qui nous ont permis de nous élever au dessus des autres espèces animales et ce sont certainement les mêmes règles qui nous extermineront… En 2015, l’être humain a conquis tellement, a découvert et a appris tellement et pourtant il s’est tellement enfoncé dans l’illusion que personne ne s’est rendu compte de rien. Le gouvernement a préféré cacher la vérité et les médias n’ont fait que de détourner la réalité. Un des avions qui s’était écrasé en début d’année transportait probablement une des cargaisons les plus importantes de toute l’humanité.
Physique : Maxime F. Pearson a un physique étonnant. Il n’est pas extrêmement tracé mais dégage une impression de robustesse et de force explosive. Il mesure 1m88 et pèse 92kg. Taillé en v, il dispose une base de physique massif et rustique grâce à un dos large, des pectoraux bien ronds et volumineux. Ses bras sont musclés et ses jambes sont longues et robustes. Il a principalement entretenu son corps avec le sport et le travail. Ses traits du visage lui donnent un air sévère et froid mais il donne également l’impression d’une personne très triste et très seule. Ses cheveux bruns, sa barbe et sa manière de s’habiller en font quelqu’un de négligé et cela même avant les événements tragiques qui vont avoir lieu.
Caractère : Maxime F. Pearson est quelqu’un de renfermé, de sauvage et de discret. Il ne cherche généralement pas les embrouilles mais n’hésitent pas à en découdre si besoin se fait. Il n’aime pas particulièrement les gens et n’apprécie pas tellement leur présence. De manière générale, on lui impose son amitié. Il agira rarement pour quelqu’un d’autre que lui et aura souvent besoin d’un coup de pouce pour que cela en aille différemment.
Capacité : Discrétion, Combat à mains nus / armes blanches, Travail du bois
Bon : Téméraire, Persévérant, Têtu, Observateur
Mauvais : Impatient, Impulsif, Froid, Aigri, Antisocial, Combat à l’arme à feu
BUT – CROYANCES – OPINIONS Religion : Agnostique
Pouvoir : leader malgré lui
Argent : peu d’intérêt, classe moyenne
Il aime : le calme, les activités physiques et sportives
Il n’aime pas : beaucoup de choses, les gens et le bruit
HISTOIRE Que feriez-vous si un matin, vous découvrirez que la fin est proche ? Que diriez-vous si vous sachiez que vous viviez les derniers instants de l’humanité ?
Je m’appelle Maxime Franck Pearson et je suis écrivain. Je vais avoir 50 ans dans un mois. J’ai eu une enfance particulière mais banale dans son ensemble. Mes parents se sont séparés très tôt dans ma jeunesse, j’ai très peu de souvenirs de ma mère. J’ai en effet vécu avec mon père jusqu’à mes 16 ans. Il était menuisier charpentier et a consacré la majorité de mon éducation à m’apprendre les subtilités et les rudiments du métier. De mon côté, j’ai tout fait pour ne jamais le décevoir et je dois dire que, à mes dépens, le bois a fini par me fasciner. Sa structure, sa vitalité, sa texture. C’est devenu une vrai inspiration pour moi. Je n’ai pas vraiment suivi de formations, je ne suis pas vraiment allé à l’école non plus. Pour ma génération, ce n’était pas vraiment ce qui importait.
Jusqu’à mes 33 ans, je travaillais corps et âme dans l’entreprise que mon père me léguait à son décès. C’est sur un coup de tête que je plaquais tout et me lançait le défi d’écrire un livre. Je ne serais pas réellement expliquer comment cette idée m’était venu à l’esprit et je ne crois que l’on puisse dire que c’est arrivé comme un cheveu dans la soupe. A vrai dire, j’ai bien dû y réfléchir pendant un an. Même si mon père était quelqu’un de manuel, je dois dire que je l’ai toujours respecté. C’était quelqu’un de très intelligent et de très cultivé. A défaut d’avoir eu une éducation à l’école, je dois dire que mon père m’a enseigné de nombreuses choses. Je crois que ma passion pour les livres est née en grande partie grâce à lui et je le remercierais jamais assez.
Bref, je n’aime pas faire dans l’émotion mais je pensais important de vous parler de cet aspect de ma vie. Que puis-je vous raconter de plus ? Je ne suis pas très connu, mes livres n’ont pas tous eu un succès et, pour tout vous dire, je n’ai jamais vraiment fait ça pour l’argent. Le seul que ça a toujours importé c’est mon foutu producteur, toujours derrière moi à me harceler. C’est lui qui s’occupe de la com’, des conférences et autres broutilles du genre. Je me suis toujours contenté de faire ce qu’il me disait. Lui et moi, c’est un peu l’amour et la haine. Je n’irais pas jusqu’à dire que je l’apprécie mais j’aime à penser qu’on a eu “nos moments”. Je pense par exemple à ma première publication. Ce type m’avait été recommandé par un ami et, bien que j’ai été mitigé et perplexe tout du long, Brian a sû me soutenir et me pousser jusqu’au bout.
Aujourd’hui, je suis un homme épanoui, je vis seul dans une maison dont je suis le propriétaire, j’ai de l’argent et un chien, Merlin. Qu’est-ce qui pourrait mal tourner ?
Dernière édition par Maxime Pearson le Mar 17 Avr - 15:51, édité 1 fois
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Messages : 20 Date d'inscription : 22/02/2018 Age : 30 Localisation : France
Maxime Pearson
Ven 13 Avr - 10:38
MAXIME PEARSON
CARTE D'IDENTITÉ Sexe : Masculin Age : 49 ans Nom : Pearson Prénom : Maxime Franck Date de naissance : 16 juin 1968 Profession : Menuisier / Charpentier / Ecrivain
DESCRIPTION
Physique : Maxime F. Pearson a un physique étonnant. Il n’est pas extrêmement tracé mais dégage une impression de robustesse et de force explosive. Il mesure 1m88 et pèse 92kg. Taillé en v, il dispose une base de physique massif et rustique grâce à un dos large, des pectoraux bien ronds et volumineux. Ses bras sont musclés et ses jambes sont longues et robustes. Il a principalement entretenu son corps avec le sport et le travail. Ses traits du visage lui donnent un air sévère et froid mais il donne également l’impression d’une personne très triste et très seule. Ses cheveux bruns, sa barbe et sa manière de s’habiller en font quelqu’un de négligé et cela même avant les événements tragiques qui vont avoir lieu.
Caractère : Maxime F. Pearson est quelqu’un de renfermé, de sauvage et de discret. Il ne cherche généralement pas les embrouilles mais n’hésitent pas à en découdre si besoin se fait. Il n’aime pas particulièrement les gens et n’apprécie pas tellement leur présence. De manière générale, on lui impose son amitié. Il agira rarement pour quelqu’un d’autre que lui et aura souvent besoin d’un coup de pouce pour que cela en aille différemment.
HISTOIRE Que feriez-vous si un matin, vous découvrirez que la fin est proche ? Que diriez-vous si vous sachiez que vous viviez les derniers instants de l’humanité ?
Je m’appelle Maxime Franck Pearson et je suis écrivain. Je vais avoir 50 ans dans un mois. J’ai eu une enfance particulière mais banale dans son ensemble. Mes parents se sont séparés très tôt dans ma jeunesse, j’ai très peu de souvenirs de ma mère. J’ai en effet vécu avec mon père jusqu’à mes 16 ans. Il était menuisier charpentier et a consacré la majorité de mon éducation à m’apprendre les subtilités et les rudiments du métier. De mon côté, j’ai tout fait pour ne jamais le décevoir et je dois dire que, à mes dépens, le bois a fini par me fasciner. Sa structure, sa vitalité, sa texture. C’est devenu une vrai inspiration pour moi. Je n’ai pas vraiment suivi de formations, je ne suis pas vraiment allé à l’école non plus. Pour ma génération, ce n’était pas vraiment ce qui importait.
Jusqu’à mes 33 ans, je travaillais corps et âme dans l’entreprise que mon père me léguait à son décès. C’est sur un coup de tête que je plaquais tout et me lançait le défi d’écrire un livre. Je ne serais pas réellement expliquer comment cette idée m’était venu à l’esprit et je ne crois que l’on puisse dire que c’est arrivé comme un cheveu dans la soupe. A vrai dire, j’ai bien dû y réfléchir pendant un an. Même si mon père était quelqu’un de manuel, je dois dire que je l’ai toujours respecté. C’était quelqu’un de très intelligent et de très cultivé. A défaut d’avoir eu une éducation à l’école, je dois dire que mon père m’a enseigné de nombreuses choses. Je crois que ma passion pour les livres est née en grande partie grâce à lui et je le remercierais jamais assez.
Bref, je n’aime pas faire dans l’émotion mais je pensais important de vous parler de cet aspect de ma vie. Que puis-je vous raconter de plus ? Je ne suis pas très connu, mes livres n’ont pas tous eu un succès et, pour tout vous dire, je n’ai jamais vraiment fait ça pour l’argent. Le seul que ça a toujours importé c’est mon foutu producteur, toujours derrière moi à me harceler. C’est lui qui s’occupe de la com’, des conférences et autres broutilles du genre. Je me suis toujours contenté de faire ce qu’il me disait. Lui et moi, c’est un peu l’amour et la haine. Je n’irais pas jusqu’à dire que je l’apprécie mais j’aime à penser qu’on a eu “nos moments”. Je pense par exemple à ma première publication. Ce type m’avait été recommandé par un ami et, bien que j’ai été mitigé et perplexe tout du long, Brian a sû me soutenir et me pousser jusqu’au bout.
Aujourd’hui, je suis un homme épanoui, je vis seul dans une maison dont je suis le propriétaire, j’ai de l’argent et un chien, Merlin. Qu’est-ce qui pourrait mal tourner ?